Immigration marocaine: les fantômes des rues de Ceuta
Des dizaines de migrants passent leurs journées dissimulés dans l’enclave espagnole au nord de l’Afrique pour fuir les policiers qui veulent les renvoyer dans leur pays.
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Article réservé aux abonnésLes rues de Ceuta sont désormais pleines de cachettes. Le bois, les épis des blocs de béton, le cimetière et même les égouts qui mènent à la plage dissimulent les silhouettes de dizaines de migrants qui fuient la police. Ils sont blessés, épuisés, sales, et ne mangent que grâce aux riverains. Ce sont tous ceux que la police n’est pas encore parvenue à expulser après l’arrivée massive de migrants à partir du 17 mai, et qui refusent de rentrer. Il y a beaucoup d’enfants.
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