10 gestes à adopter au quotidien pour avoir une bonne hygiène intime, d’après les gynécologues
Prendre soin de sa zone intime est essentiel pour notre santé. Outre le fait de provoquer désagréments et inconforts, négliger son hygiène peut en effet entraîner de sérieuses conditions de santé, handicapantes pour quiconque les vit au quotidien.
Toutefois, comme vous le savez, ces parties génitales nécessitent une hygiène bien spécifique, différente d’autres parties de notre anatomie (on ne la nettoiera pas comme on laverait ses oreilles par exemple).
L’appareil génital se subdivisant en plusieurs parties différentes, le moyen de prendre soin de chaque zone diffère parfois. Mais les éléments unanimes sur lesquels il faut se concentrer sont : la vulve, le vagin et la flore vaginale (dite “flore de Döderlein”).
Hygiène intime : deux éléments jouent un rôle crucial dans la protection des parties génitales féminines
Si la flore vaginale est celle dont on entend le plus parler dans les publicités, il convient également de ne pas négliger la vulve.
La flore vaginale est composée de lactobacilles (bonnes bactéries) qui maintiennent l’acidité du vagin à un bon niveau afin de combattre les mauvaises bactéries et les germes, et empêcher in fine les infections (mycoses). Elle peut être vue comme une barrière invisible interne. En prendre soin consiste essentiellement à maintenir cet écosystème bactérien intact.
La vulve, quant à elle, protège l’entrée du vagin et empêche les bactéries d’y pénétrer et d’y proliférer. Elle peut être considérée comme une barrière physique externe. Faire attention à son hygiène consiste majoritairement à maintenir son hydratation pour ne pas qu’elle soit sèche et irritée, mais toujours de manière raisonnable afin de préserver toute son efficacité.
Les gestes quotidiens à adopter pour avoir une bonne hygiène intime
Certains gestes anodins nous permettent de chouchouter ces deux éléments essentiels de notre zone intime, l’air de rien. Les adopter au quotidien peut nous préserver de bon nombre d’infections et de maladies génitales.
Quels sont-ils ?
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