Avant la fin du mois, faire un point sérieux et public de la situation Pagination d'article
Voici bientôt une année que nous naviguons à vue en matière de pandémie. Il est hors de question de continuer à tuer la vie pour « protéger les hôpitaux » comme le répètent les scientifiques.
Une première question vient à l’esprit à ce propos : quelles sont les mesures prises, à prendre ou au moins envisagées pour éviter à l’avenir que la surcharge des hôpitaux et du personnel soignant soit à nouveau la cause d’une destruction de la vie d’une population ? – N’y a-t-il aucun moyen envisageable en dehors des quarantaines, fermetures souvent incompréhensibles de lieux de vie, menaces de tester tous les enfants à l’école, au risque de les soumettre à une tension considérable, traçages impossibles à partir d’un certain nombre de personnes, communications semant la peur, scènes de piqûres et de fouille-nez à la télévision comme si nous étions des animaux de l’émission « les nouveaux vétérinaires » ?
Tant de questions
Quelles sont les mesures envisagées d’une manière générale pour assurer le fonctionnement des hôpitaux en cas de catastrophe naturelle avec des milliers de blessés ? Comment augmenter le personnel soignant ? Quelles méthodes de soins ou quels remèdes sont déjà pratiqués avec succès afin de juguler la maladie dès ses débuts, voire de fortifier l’état général des personnes afin de les rendre plus résistantes en attendant les vaccins ? Est-il interdit aux scientifiques officiels de se prononcer autrement que pour entretenir le catastrophisme, la peur générale et la culpabilisation des jeunes en particulier ?
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— Louise McDermott Mon Dec 01 14:00:08 +0000 2014
Il y a des questions de pur bon sens qui ne sont jamais posées. Les parlementaires sont-ils dénués de toute curiosité ?
Pourquoi cache-t-on les prix négociés avec les Pharmas pour les vaccins ? Est-ce seulement pour des motifs de diplomatie internationale ? Qui finance la publicité dans les journaux en faveur de la vaccination – par exemple, page entière, à trois reprises au moins, dans Le Temps, où la professeure Solange Peters déclare « Je me ferai vacciner » ? Les Commissions fédérales des finances ou/et de gestion devront s’assurer que ce n’est pas l’argent public qui assume les frais de publicité.
Est-il logique de commencer par vacciner les personnes du 3e ou du 4e âge – dont je fais partie (mais je ne me suis pas encore précipitée, pour plusieurs raisons) – avant le personnel soignant, les enseignants et toutes les personnes actives professionnellement bien plus exposées au risque d’une contamination que celles, précisément, qui peuvent rester assez sagement chez elles ?
Il ne s’agit pas de prétendre que la gestion de la pandémie est facile, mais quand une société est en train de mourir de la protection imposée, il faut qu’elle puisse au moins donner un consentement éclairé.